Attila rentra de GdL dans un état d’extrême fatigue aussi moralement que physiquement. Elle avait passé la journée à écouter ce qui se disait sur elle, beaucoup jugé son vote comme de l’opportunisme et d’autre comme une trahison car quelques heures après il y avait eu ordre de mobilisation.
Elle expédia les affaires courante de la province et décida de rejoindre Kiba, dans leurs demeures de CdT. A son arrivée une lettre était posé sur la petite table basse de l’entrée. Attila l’ouvris fébrilement reconnaissant l’écriture de Kiba. A sa lecture Tila ne pu retenir ses larmes et s’agenouilla à même le sol, pleurant à chaude larmes.
Elle repensa à tout se qui s’était passé ici depuis qu’elle était arrivée dans le clan, la méfiance au début ensuite était venue l’amitié, l’amour fraternelle et elle y avait également rencontré l’amour, puis était venue les moments de discorde, la rumeur lancé par Lothar, le suicide de Teldrik, l’affront que lui avait fait le clan en ne venant pas à son dernier hommage, des cours qu’elle attendait depuis plusieurs semaines, sa propres violence, être soumise à la vindicte puis à l’indifférence du clan… Tout cela l’avait rongé de l’intérieur, elle était lasse, déçus et mélancolique. Elle n’avait plus aucun désire, aucun plaisir, seul sont fils l’empêché encore de sombrer dans le néant. Elle n’avait pas vue Kiba depuis un peu plus d’une semaine, c’était sa première lettre depuis après de brève rencontre.
Elle rangea la maison, la poussière s’était accumulé et un petit brin de ménage n’était pas superflu. Cacher au fin fond de son tiroir elle retrouva une fiole de poison, elle avait oublié depuis le temps, mais elle était bien là, elle l’ouvrir délicatement et senti ce doux parfum acre qui s’en dégagé, il n‘avait pas changé depuis. Elle s’assis sur son lit, regardant tant et tant cette petite fiole dont le pouvoir pouvait la libérer. Elle se demanda à qui elle pourrait manqué si elle buvait ce doux breuvage. Ewann était petit et ne se rappellerai pas d’elle, le clan mise à part Draki, ne lui parlait plus ou presque uniquement pour demander de l’aide, Kiba… peut-être kiba… elle ne savait pas, ils s’aimaient, mais leurs amours était-il assez fort ou se briserait-il, une partie de son cœur appartenait toujours à Bishop, son Bibi, lui qui essayait de la réconforté du fond de sa prison, lui qui voulait la revoir ainsi que leurs fils, lui qui ne l’aimait pas comme elle espérait, il avait eu la franchise de lui avoir dit, elle avait toujours espérer… il lui offrait quelque chose de particulier, plus importante que l’amitié mais moins qu’un couple, il l’aimait à sa façon. Le seul homme capable de la maîtriser, la raisonner, d’avoir une emprise sur elle. Elle se leva tranquillement, mis sa fiole dans sa poche puis quitta sa maison.
En fermant la poche, elle fut interpellé par Lothar, il lui présenté à nouveau ses excuses. Tout en l’écoutant parler elle ne pouvait s’empêcher de fixer sa cicatrice sur le cou. Lothar parler mais Tila ne l’écouté déjà plus, elle ne pouvait s’empêché de voir l’horreur de ses actes. Elle revient subitement à elle, quand il lui avoua qu’il l’observé et qu’il ne supportait pas de la voire triste… Son couple qui battait de l’aile. Lothar ce tue et regarda Tila, attendant une réponse qui ne tarda pas, plus cinglante que ce qu’elle aurait voulue.
Je suis las des querelles intestine, Lothar, j’ai déjà pardonné tes actes envers Kiba mais je reste méfiante. Tant que tu respectera mes croyances, tu n’auras rien à craindre de moi. Concernant mon couple avec Kiba cela ne regarde que nous. Pour ce qui est de ton soutient, ne te sent pas forcé car je n’attend plus rien du clan.
Puis elle partie vers le laboratoire de Kiba, sans se retourner, sans attendre une réponse de Lothar. Elle se demandé pourquoi il lui avait avoué qu’il l’observé et que voulait dire le fait qu’il ne supportait pas de la voire triste… elle aurait du lui demander plutôt que de l’envoyer petre… En arrivant dans le labo de Kiba, Tila constatât que celui-ci était vide, elle passa à la prison, idem, pour l’auberge et l’école la même chose. Elle remonta vers le laboratoire, kiba n’ était toujours pas, elle pris une plume et lui écrive une lettre, pour lui dire ce qu‘elle avait à dire depuis un moment déjà.
Kiba, ce n’est pas de ton soutient dont j’ai besoin, mais de ton amour, de ton respect, que t’ouvre à moi et de ta présence.
Ton irresponsabilité aurait pu coûter la vie à mon fils mais tu n’avais pas pensé que le démon ne nous reconnaîtrai pas, je ne t’en veux pas car heureusement il n’est rien arrivée de fâcheux, je me suis interposé et c’est moi qui est été blessé. J’ai demandé a Yamano de me soigner, ce qu’il a fait.
Mon inquiétude vient du fait que tu me fuis et que tu t’enferme dans ton mutisme.
Pour ce qui concerne Henry, tu n’as rien a craindre, ce n’était qu’un ami et j’en parle bien au passé car je n’accepte pas qu’il insinue le fait que je déstabilise l’empire.
Par contre j’aimerai aborder avec toi ma relation avec Bishop. Comme tu le sais c’est le père d’Ewann. Bien que nous ne soyons plus amant, un lien très fort nous unis ce lien est bien plus fort que l’amitié toutefois nous ne serons jamais un couple. Donc ne t’étonne pas de l’ambiguïté qu’il peut en ressortir. Depuis que je le connais il a toujours était présent pour moi, quand j’avais besoin aussi bien dans les rires, que les pleures et inversement. A vrai dire, il est le seul à avoir de l’influence sur moi.
Attila
Tila rentra chez elle, téléphona à Strawboy pour l’informer de son désir de rejoindre son clan dans une semaine à l’issue du vote, elle ferai le nécessaire officiellement à ce moment là. Elle avait décidé de partir et de ne rien dire à son clan. Elle leur avait donné une seconde chance après avoir parlé à Gabiz après l’histoire de Lothar et de Kiba mais n’avait vue aucun changement notable, la situation n’avait pas évolué, à part quelques mots de soutient quand elle avait réuni le conseil et depuis rien… Elle se demandait ce qui aller ce passer, elle savait que Kiba ne la suivrait pas. Elle savait son couple aller voler en éclat, devait-elle informer son époux de sa décision… qui remarquerait son départ… Allonger sur son lit, elle regardait à nouveau sa fiole de poison… elle attendrait de revoir Bishop une nouvelle fois… une dernière fois peut-être.